Transcript of President John F. Kennedy’s Inaugural Address
Essay by Danica Melanson • March 26, 2017 • Essay • 1,328 Words (6 Pages) • 1,079 Views
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Danica Melanson
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Analyse de Document
“Transcript of President John F. Kennedy’s Inaugural Address”
Le 20 janvier 1961, le 35e président des États-Unis, John F. Kennedy rentre en pouvoir. Il a hérité la présidence de Dwight D. Eisenhower. Quand Kennedy à gager l’élection de 1960, la vie aux États-Unis était différent. Kennedy est élu au milieu de la guerre froide. Il y a une course contre les armes nucléaires et un sentiment anticommuniste est évident en Amérique du NordLors de son discours d’inauguration, Kennedy annonce non seulement à son peuple, mais aussi le monde ses objectifs et attentes pour son administration. Son administration a joué un rôle important dans des évènements historiques dans le contexte de la guerre froide. Les valeurs et sentiments américains sont très importants dans ce discours. Comme joueur important, Kennedy fait certain que son discours ne fait pas seulement appel aux émotions, mais aussi aux valeurs important pour son pays. La liberté a toujours été une valeur très importante pour les Américains. Alors, ce n’est pas surprenant que Kennedy utilise cette valeur comme un thème important dans le discours. Des thèmes présents tout au long du discours sont le sentiment d’anticommuniste et l’importance de la liberté. Kennedy exhorte son peuple de ne jamais tenir pour acquise la liberté. De plus, avec un sentiment anticommuniste qui est très présent dans la vie de tous les jours et la course contre les armes qui réchauffe de plus en plus, Kennedy utilise le sentiment de la peur pour annoncer ces attentes et objectifs pour son administration. Le discours a présenté le nouveau président comme une balise de changement aux États-Unis. Kennedy se semble confortable et confie à dire à son peuple qu’il va faire de son mieux de commencer à atteindre ses objectifs. Le discours a été une belle introduction à l’administration Kennedy ou « Camelot ».
Un thème qui joue un rôle important non seulement dans le discours de Kennedy, mais aussi dans le contexte de la guerre froide aux États-Unis est l’importance de la liberté. La liberté est une valeur qui est souvent attribuée avec les États-Unis. Souvent, Kennedy remarque l’importance de la liberté dans le discours. Par exemple, Kennedy adresse la foule en disant que la journée de son inauguration est non seulement une journée de victoire, mais aussi une journée qui célèbre la liberté. Les États-Unis ont toujours pris à cœur leur liberté : « We observe today not a victory party but a celebration of freedom. »[1] L’administration Kennedy va devenir une administration d’un président américain qui va essayer de garder contrôle du monde libre et vas continuer à lutter contre les forces communiste. La liberté est une valeur que le monde associe les États-Unis avec. C’est pour cette raison que Kennedy a choisi de rappeler la nation que la liberté est un droit et qu’ils ne devraient jamais le tenir pour acquis. Pour ajouté, Kennedy dit aussi que le peuple américain ne devrait jamais arrêter de se battre pour ce droit. Il veut que son administration aide les gens qui ne sont pas aussi chanceux de vivre dans la liberté. « Let every nation know, whether it wishes us well or ill, that we shall pay any price, any burden, meet any hardship, support any friend, oppose any foe to assure the survival and success of liberty. »[2] Avec le sentiment anticommuniste qui s’élève aux États-Unis, c’est clair que les Américains prennent leur liberté très sérieuse. Les Américains sont prêts à protéger leur liberté. Par contre, les Américains sont aussi près de travailler avec d’autre pays et gouvernements qui sont libres; « …a new alliance for progress to assist free men and free governements in casting off the chains of poverty. »[3] Kennedy assure qu’il va payer n’importe quel prix pour assurer que son pays reste un pays libre.
Avec le sentiment de la liberté, vient aussi le sentiment de la peur. La peur est un sentiment que Kennedy utilise souvent dans le discours. Avec les forces communistes à l’est, le peuple des États-Unis a très peur de perdre leurs libertés. Alors, dans son discours, Kennedy annonce très clairement que le communisme n’est pas une idéologie que les États-Unis s’associent avec. Kennedy fait des remarques qui suggèrent que les États-Unis veulent essayer de reconstruire les relations avec autres pouvoirs. « Let both sides explore what problems unite us instead od belaboring those problems which devide us. »[4] Il semble que Kennedy est près de négocier des traités. Comme le nouveau président, c’est aussi clair que Kennedy est prêt de travailler sur des relations rompues qui a été brisé dans le passée. Par contre, même si Kennedy est prêt à négocier des il est déterminé de ne pas être influencé par des forces externe. « And every power know that this Hemisphere intends to remain the master of its own house. »[5] C’est-à-dire que les États-Unis vont toujours être prêts pour défendre leurs valeurs et assurer la liberté. Le thème du communisme est très important non seulement dans le contexte de la guerre froide, mais aussi dans le discours de Kennedy. Kennedy remarque aussi que dans ses temps d’incertitude, le pays doit venir ensemble et travailler pour lutter les forces externes du communisme. « Divided, there is little we can do – for we dare not meet a powerfull challenge at odds and split asunder. »[6]
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